Semaine 13 : L’exposition « L’invention de Morel ou la machine à images » à la Maison de l’Amérique latine de Paris

Chaque semaine, nous réservons un espace dédié aux événements et invitations. Il suffit de nous envoyer un courrier électronique avec des informations susceptibles d’intéresser nos internautes en indiquant simplement le titre de votre manifestation, le lieu, la date et l’heure, un visuel et un contact. Voici la sélection de la semaine du dimanche 25 mars au samedi 31 mars.

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LUNDI 26 MARS – PARIS

« Penser l’Amérique préhispanique » :  une affiche solide pour le premier colloque de l’association ACERAP

L’Association culturelle pour l’étude et la recherche en archéologie préhispanique propose un colloque autour du thème « Penser l’Amérique latine préhispanique, d’hier à aujourd’hui : construction des savoirs scientifiques et discours politiques ». On y retrouvera des intervenants tels que Franck Garcia, du Centre de recherche sur l’Amérique préhispanique (CeRA) et Estela Martínez Mora, de l’Institut national d’anthropologie et d’histoire (INAH) au Mexique. Parmi les différents thèmes de ce colloque : « L’Inca dans l’ombre du marxisme » ou encore « L’américanisme à l’heure de l’archéométrie ». Plus d’infos

 EXPOSITION À PARIS

« L’invention de Morel ou la machine à images » à partir du roman d’Adolfo Bioy Casares

À partir du 16 mars et pour une durée de quatre mois, la Maison de l’Amérique latine de Paris présente une exposition inédite, intitulée L’Invention de Morel ou La machine à images, conçue par et sous le commissariat de Thierry Dufrêne à partir du roman L’Invention de Morel de l’écrivain argentin Adolfo Bioy Casares (1914-1999), ami et compagnon de lettres de Jorge Luis Borges. En parallèle, un cycle de films inspirés du roman, dont L’Année dernière à Marienbad d’Alain Resnais, scénario Alain Robbe-Grillet (1961), projeté de mars à juin 2018. Plus d’infos

VENDREDI 30 MARS – PARIS

Archéologie du Nord péruvien et culture Mochica – Rencontre en hommage à l’archéologue Santiago Uceda 

Une rencontre en espagnol avec Luis Jaime Castillo et Carlos Werner La Torre, en hommage à Santiago Uceda, récemment décédé qui, en février 2017, nous présentait la culture Mochica, sujet essentiel de l’exposition actuelle du musée du Quai Branly qu’il avait lui-même organisé. Luis Jaime Castillo est professeur de la PUCP et dirige le projet San José de Moro. Carlos Wester La Torre est directeur du musée Bruning de Lambayeque et du site archéologique de Chotuna. Plus d’infos

VENDREDI 30 MARS – GRENOBLE

« Les Codex, grandes énigmes des Mayas », projection d’un documentaire animé par la Maison Latina à Grenoble

La Maison Latina de Grenoble propose la projection d’un documentaire suivi d’un dialogue en français et en espagnol. Que savons-nous de l’Amérique précolombienne ? Lors de la conquête espagnole du Yucatán au XVIe siècle, il existait de nombreux livres semblables qui furent par la suite détruits par les conquistadors et les prêtres. Ainsi la destruction de tous les livres au Yucatán fut ordonnée par l’évêque Diego de Landa en 1562. Ces Codex Trocortesianus (de Madrid), Dresdensis (de Dresde) et Peresianus (de Paris) constituaient les archives écrites de la civilisation maya. Plus d’infos

DU 14 AU 27 MARS – CHAMBÉRY

Projection en avant-première du film « Los Adioses » de la réalisatrice mexicaine Natalia Beristain Egurrola 

Synopsis : Rosario Castellano est étudiante en philosophie au Mexique. Introvertie mais passionnée, elle consacre dès son plus jeune âge son temps à la lecture de grands auteurs et à l’écriture de premiers textes. On commence à publier dès le début des années 1950 ses écrits, dont des textes sur la condition féminine. Mais elle est confrontée au quotidien à une société masculine qui la considère peu. Son érudition et sa pugnacité feront d’elle l’une des plus grandes écrivaines de la littérature mexicaine. Plus d’infos

MERCREDI 4 AVRIL – MARSEILLE

Vernissage de l’exposition « Traversée Sud », photographie vénézuélienne, du groupe Espiral Sur

Ces cinq auteurs photographes veulent offrir aux spectateurs une nouvelle perception du Venezuela. L’image joue avec le regard, les croyances et les coutumes, les textures et les couleurs, comme si elles faisaient le lien entre l’éternel et le passager, l’inconnu et le familier, entre ici et ailleurs, entre l’étrange et l’étranger. Exposition en présence de cinq auteurs-photographes : Fabienne Piot, Gustavo Marcano, Rodrigo Benavides, Emilio Guzmán, et Orlando Monteleone. Plus d’infos