Antoine Barral, écrivain, est invité aux Belles Latinas de ce mois d’octobre

Antoine Barral est le créateur d’une collection « Les Lettres de mon trapiche » de littérature latino-américaine en version originale « pour le plaisir de lire en espagnol ». La collection est associée à la maison d’édition L’Atinoir à Marseille.

Photo : Les Lettres de mon trapiche

Antoine Barral est né en 1962 dans le sud de la France. Il a passé son enfance dans divers pays d’Afrique et d’Amérique du Sud. Il a appris l’espagnol à l’adolescence. Il a fait des études universitaires à Montpellier. Il a été gérant d’une entreprise dans le secteur touristique, et parallèlement moniteur en école de voile (Les Glénans). À partir de 40 ans il se consacre à l’écriture. Après avoir publié trois romans en français, il se lance le défi d’écrire de la fiction en espagnol. Également traducteur de littérature latino-américaine, il a établi l’anthologie Histoires d’Uruguay/Historias del Uruguay parue chez L’atinoir en 2018. Son premier roman en espagnol, paraît en Uruguay en 2019. Il dirige Les Lettres de mon Trapiche qui publie des textes d’auteures et d’auteurs d’Amérique latine dans le texte original et diffusés chez L’atinoir.

Antoine Barral est aussi éditeur indépendant associé aux éditions L’atinoir (Marseille) pour la diffusion (ISBN partagés) avec une vraie cohérence de catalogue. Il créée la collection Les Lettres de mon Trapiche, littérature latino-américaine en V.O., éditions Latinoir, Marseille (neuf titres publiés en 2020) : Memoria de una ciudad por donde no pasó la guerra, Andrea Arismendi  (Uruguay), Muerte y vida del sargento poeta, Martin Bentancor (Uruguay), El silencio de los pájaros, Horacio Cavallo (Uruguay), Ladrón de libros, Jorge Cuba-Luque (Pérou), Zapatos prestados, Luis Do Santos (Uruguay), Miss O’Ginia, Efra Páez (Équateur), Ficción hereje para lectores castos, Giovanni Rodriguez (Honduras), Nadie recuerda a Mlejnas, Ramiro Sanchiz (Uruguay), Mar Paraguayo, Wilson Bueno (Brésil), Meteoritos en cámara lenta, Rosario Lázaro Igoa (Uruguay).

D’après site éditeur

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