Nouveaux latinos du 15 avril 2020

EDITORIAL DU 15 AVRIL 2020

Il faudra attendre encore quelque temps pour retrouver notre liberté de mouvement. L’épidémie que la planète entière subit, inédite par sa violence et le nombre de victimes, nécessite désormais une mise à plat de nos comportements et de notre manière de vivre, très liés à notre environnement. Nous venons de recevoir de Pressenza, une agence de presse internationale dédiée aux informations concernant la paix et la non-violence avec des bureaux dans plusieurs capitales du monde, une vidéo, pour le moment en espagnol, sur la nécessité de repenser au partage pour tous les humains et mettant en lumière le revenu universel pour tous.
 
Notre confinement continue et l’attente doit être accompagnée par des temps de détente et de découvertes, et la littérature, comme la musique et le cinéma, nous aident beaucoup à supporter les limitations de nos mouvements. En attendant l’ouverture des librairies et des bibliothèques, nous proposons dans cette newsletter une nouvelle rubrique de lectures d’auteurs classiques, dans notre cas, forcément des Latino-Américains comme celui que nous présentons cette semaine, le Mexicain José Emilio Pacheco.
 
Prochainement, nous reviendrons avec un premier bilan de la pandémie Covid-19 en Amérique latine préparé par un journaliste suisse résidant au Brésil et qui a déjà écrit d’autres articles dans nos rubriques hebdomadaires ainsi que dans notre revue trimestrielle, dont la dernière édition, le n° 303, est en cours de bouclage et dans laquelle figure un dossier intitulé : « Révoltes… Migrations ». Elle sera distribuée à nos abonnés début mai et nous recommandons à ceux qui ne font pas partie de notre cercle de lecteurs d’en profiter pour s’abonner dès maintenant ici sur notre site et recevoir par courrier postal le dernier exemplaire de notre revue. À la semaine prochaine.

Januario ESPINOSA 
Directeur de la rédaction

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