Juan Carlos Méndez Guédez (Barquisimeto, 1967) réside actuellement à Madrid, ville qu’il a choisi d’habiter après avoir quitté son Venezuela natal pour suivre un doctorat en Littérature hispano-américaine à l’université de Salamanque. Son œuvre d’écrivain des deux continents, primée à plusieurs reprises, compte aujourd’hui plus d’une quinzaine de romans, livres de contes et de nouvelles qui abordent les thèmes du déracinement, de l’éloignement, de l’amour dans une prose imprégnée de lectures péninsulaires et hispano-américaines.

Mambo canaille :

Trois personnages aussi différents que possible, par le fait d’un hasard que seule une fiction rondement menée sait construire, voient leurs destins soudain liés, dans une Madrid très actuelle. Henry, écrivain hispano-américain en quête acharnée de la Grande Œeuvre, ne parvient pas à écrire. Simao, son compatriote, jeune homme exilé avec sa famille à la suite d’une cascade de déboires économiques, est à la recherche désespérée d’un emploi. Et Alejandro, brillant entrepreneur canarien, est taraudé par le désir de se libérer de sa tendre épouse. Comment leurs vies vont-elles se retrouver imbriquées dans une histoire commune trépidante et cocasse dans laquelle le cynisme et le rire féroce le disputent à la tendresse et à l’humanité ? Un roman qui aborde avec une grande sensibilité et beaucoup d’humour la question du déracinement, de l’amour, et la possibilité de se réinventer une vie. D’après l’éditeur – PHOTO ©

Juan Carlos Méndez Guédez vient de publier en français Le Pluie Peut-être, traduit de l’espagnol (Venezuela) par Adelaïde de Chatellus aux éditons Orbis Tertius (Lyon). SITE

Bibliographie : La Ville de sable, Traduit de l’espagnol par Adélaïde de Chatellus, Éd. Albatros (2011), 185p., 12€ – Lien Éd. Zinnia

Dans le cadre de Belles Latinas 2014, Juan Carlos Méndez Guédez sera en France du 13 au 18 octobre à Bron, Ecully, Marseille et Lyon.
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