L’auteur argentin Eduardo Berti publie deux nouveaux titres qu’il présentera au festival Belles Latinas 2020

Eduardo Berti, écrivain argentin né à Buenos Aires en 1964, est un écrivain de langue espagnole, devenu très tôt collaborateur des journaux les plus importants de son pays, tels que Página/12, Clarín, ou encore La Nación et fondateur d’une des premières radios indépendantes nationales. Membre de l’Oulipo depuis juin 2014, il est l’auteur de plusieurs recueils de nouvelles, ainsi que de romans. Traducteur et journaliste culturel, ses livres ont été traduits en sept langues, notamment en français.

Photo : Ed. La Contre Allée

Une large partie de ses romans est disponible dans cette langue, tant ses micronouvelles, comme La vie impossible, ses nouvelles, telles que L’Inoubliable que ses romans, dont Le Désordre électrique, Madame Wakefield (finaliste du prix Fémina), Tous les Funes (finaliste du Prix Herralde 2004), et bien d’autres œuvres. Les éditions Actes Sud ont publié la majorité de ces livres, traduits pour la plupart par Jean-Marie Saint-Lu.   C’est pour Inventaire d’inventions (Inventées), publié par La Contre Allée en 2017, qu’Eduardo Berti va participer au festival Belles Latinas, prévu au mois d’octobre prochain afin de présenter son livre aux mille inventions. De quoi parle-t-il ? D’inventions insolites, telles que celle de la machine à arrêter le temps, des boucles d’oreilles-réveil, du traducteur chien-humain, du livre infini, de l’effaceur de mémoire… Une fresque aux allures oulipiennes, présentée par Eduardo Berti et Monobloque.

Entre le pianoktail de Boris Vian, la Kallocaïne de Karin Boye, qui est un sérum de vérité, et bien d’autres inventions toutes plus extraordinaires les unes que les autres, vous aurez le moyen de satisfaire votre curiosité, pour comprendre tous les mécanismes de ces inventions inoubliables. Pour cela, Eduardo Berti se fera un plaisir de vous en parler, lors du festival Belles Latinas, où nous vous attendons nombreux, au mois d’octobre prochain. Alors en attendant, à vos lectures, une petite touche de fantastique ne sera que positive durant cette période de confinement. N’oubliez pas non plus la sortie du dernier roman de Eduardo BertiUn père étranger, qui sortira le 10 septembre, et traduit par Jean-Marie Saint-Lu.

 Blanche TAILLANDIER